Xavier de Bordeaux:
Josue, jeune homme fier, posant devant son logement de fortune.
Xavier de Bordeaux:
Josue joue le jeu et prend la pose avec de plus en plus de plaisir face à notre équipe, comme il le dit lui-même "sa fé du bien de se santir quoncidéré poure une foie""
Xavier de Bordeaux:
Josue se lève, décidé à nous montrer "sa collection perso" avec un petit sourire complice et joyeux. (le flash dans le champ, c'est kdo ^^)
Xavier de Bordeaux:
La collection personnelle de Josue : des pneus usagers. Il nous confie à cet instant vouloir un jour créer sa propre entreprise, la "Josue's Tire Shop", pour que sa mère soit fiere de lui.
Xavier de Bordeaux:
Josue nous amène dans un endroit désolé et extrèmement vétuste. Il y passe le plus clair de son temps nous avoue-t-il.
Xavier de Bordeaux:
Via une installation electrique improbable, Josue peut regarder la tv. Il attend l'arrivée de sa femme, Rosa-maria.
Xavier de Bordeaux:
Josue nous présente Rosa-Maria, sa compagne avec qui il dit vouloir des enfants, car une poupée, ça remplace pas un vrai bébé. (Notons le comportement curieux de mon objectif, devenu presque aussi flou que les lunettes triple-foyer de Rosa-Maria).
Xavier de Bordeaux:
Rosa-Maria a l'air absente, Josue semble un peu gauche avec sa femme, son comportement commence à changer.
Xavier de Bordeaux:
Alors que Rosa-Maria lui fait les yeux doux, Josue a le regard absent, lointain, comme si sa vie faite de malheurs et de désillusions le rattrapait à cet instant.
Xavier de Bordeaux:
Nous nous apprêtions à partir, laissant Josue continuer son bonhomme de chemin, qd nous découvrimes, stupéfaits, une scène de violence sur la personne de Rosa-Maria, la compagne de Josue et un curieux père-noel.
Xavier de Bordeaux:
En fait, il s'agit seulement d'Antonio, le frère de Josue. Nous ne comprenons pas très bien leur activité mais l'oeil perçant de Rosa-Maria nous suggère sans nul doute que nous devons mettre les voiles et rapidement, nous ne sommes plus les bienvenus ici.
Xavier de Bordeaux:
Rosa-Maria triste
Xavier de Bordeaux:
La menace.
Xavier de Bordeaux:
Thank you