Barbara DALMAZZO-TEMPEL: les dernières chutes, le dernier arc-en-ciel
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: ça y est, nous sommes arrivés au bout du bout, ...
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: C'est ici que les grandes crues du mois de juin ont emporté les passerelles, et on comprend pourquoi
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Pour terminer notre visite des chutes d'Iguazu côté argentin, je vous propose cette vidéo et n'oubliez pas de mettre le son. Demain je vous montre les coatis qui pullulent dans ce parc
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Voici notre première rencontre avec un coati. C'est un mammifère de la taille d'un gros chat qui se nourrit, normalement, d'insectes, larves etc en fouissant la terre, les souches d'arbres morts.
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: C'est a sa qualité de "fouisseur" qu'il doit ce long nez souple et pointu et ces pattes griffues. Celui-ci doit être d'un espèce différent des autres coatis rencontrés dans le parc, car il est clair de pelage et il n'a pas la même longue queue rayée.
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Les coatis deviennent facilement omnivore quand l'occasion se présente. Celui-ci vient de chiper, dans la main d'un enfant, un biscuit. D'ailleurs, méfiance, quand ils sont dans le coin, mangez toujours debout...
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Les Coatis communs, Nasua nasua, sont peu farouches et ce sont d'excellents grimpeurs. Ce sont de très bons chasseurs qui chassent en bande et ce sont les femelles qui chassent.
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Ils sont désinvoltes, malins, n'ont peur de rien, et si vous avez le malheur de manger tranquillement assis à une table sans observer ce qui se passe à vos pieds, ils sautent facilement sur la table pour vous manger le pain de la bouche, au sens propre!
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Ils vivent en groupes de 20 à 80 individus constitués de jeunes et de femelles, les mâles en âge de s'accoupler y sont admis plus rarement. Pour dormir, ils grimpent dans les arbres. Le coati est un animal affectueux avec ses congénères.
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: A part les coatis dans le parc, il y a aussi beaucoup d'urubus qu'on voit virevolter au dessus des chutes
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Quand j'ai vu cette aigrette blanche, je me suis demandé comment elle pouvait pêcher dans des eaux aussi vives...
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Et bien, croyez-moi ou pas, mais elle réussit très bien. Respects, Madame l'Aigrette
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Je ne connais pas le nom de ce petit oiseau haut sur pattes, mais il est joliment huppé, monsieur (c'est un Vanneau téro (Vanellus chilensis) typique d'Amérique du Sud, merci à Nicole et Philippe)
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Ici nous admirons un figuier étrangleur, nom donné à certains arbres tropicaux dont les racines aériennes ont des propriétés «étrangleuses» favorisant leur compétition avec d'autres arbres.
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Les graines de ces arbres, souvent transportées par des oiseaux, germent dans les branches supérieures d'un arbre hôte. Puis ils développent des racines aériennes vers le sol en même temps que des branches vers le haut pour capter plus de lumière.
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Les dernières images d'Iguazu avec ce lézard...
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: ... un même lézard, ...
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: ... une "chose"avec un très longue queue qui passait au loin... (c'est un Salvator merianae, une espèce de sauriens de la famille des Teiidae, nommée Tégu noir et blanc ou Tégu d'Argentine . Merci, Nicole!!!
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: ... et un papillon dont il y avait des nuées, des jaunes et des oranges semblables à celui-ci. (Le Flambeau (Dryas iulia), merci Nicole!! :o))
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Je voudrais vous montrer un peu le jardin de notre Posada, notre auberge, à Puerto Iguazu, qui se trouve à un latitude de 25,5°
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Il y pousse des bananiers
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: ... des becs de perroquet, ...
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: ... et "des sabres" (je ne me souviens plus du nom de cette plante qui pousse chez nous dans nos appartements ("langues de belle mere .... Sansevieria trifasciata" me dit Janine, merci!)
Barbara DALMAZZO-TEMPEL: Dommage que nous n'avons pas pu profiter de ce petit paradis, car la veille, à notre arrivée, il pleuvait et le soir de notre visite côté argentin nous retournions à Buenos Aires...