Délirante bestiole [la poésie des goupils]: L'homme des rivières sales
Délirante bestiole [la poésie des goupils]: Le porc-épic ne piquera plus ! :(
Délirante bestiole [la poésie des goupils]: Mes yeux ce sont des flammes et non pierreries
Délirante bestiole [la poésie des goupils]: Y a toujours un type qui bosse derrière le héros
Délirante bestiole [la poésie des goupils]: hyperolius pardalis sur le dos