Ackteon:
« En somme la mort, c'est un peu comme un mariage. » de Louis-Ferdinand Céline Le sculpteur Croizatier et sa femme
Ackteon:
« À tant d’années passées le souvenir des choses, bien précisément, c’est un effort. Ce que les gens ont dit c’est presque tourné des mensonges. Faut se méfier. C’est putain le passé, ça fond dans la rêvasserie. Céline, / Guerre 2022
Ackteon:
je n’ai que l’ambition d’une mort peu douloureuse mais bien lucide et tout le reste c’est du yoyo. Bien sincèrement je vous prie.
Ackteon:
Les crépuscules, dans cet enfer africain, se révélaient fameux. On n'y coupait pas. Tragiques chaque fois comme d'énormes assasinats du soleil.
Ackteon:
1914 - 2014 « La vie c'est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit. » de Louis-Ferdinand Céline
Ackteon:
Cochonnerie / Ce monde n'est je vous l'assure qu'une immense entreprise à se foutre du monde ! Céline (Voyage au bout de la nuit, p.68, Folio n°28)
Ackteon:
Le soleil qui passe à travers trop de choses ne laisse jamais à la rue qu'une lumière d'automne avec des regrets et des nuages. Céline
Ackteon:
"Une balle dans le ventre, ça ne fait pas un héros, ça fait une péritonite ». LOUIS FERDINAND CÈLINE
Ackteon:
« Celui qui parle de l'avenir est un coquin. C'est l'actuel qui compte. Invoquer sa postérité, c'est faire un discours aux asticots. » de Louis-Ferdinand Céline
Ackteon:
les autos !... elles arrêtent pas ! là, vous pouvez voir la folie ! … la trombe vers Versailles ! Cette charge des autos !...
Ackteon:
Tout ce qui est intéressant se passe dans l'ombre, décidément. On ne sait rien de la véritable histoire des hommes. Céline (Voyage au bout de la nuit, p.64, Folio n°28)
Ackteon:
Une forte vie intérieure se suffit à elle-même et ferait fondre vingt années de banquise. Céline (Voyage au bout de la nuit, p.202, Folio n°28)
Ackteon:
« La vérité, c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde, c'est la mort. » de Louis-Ferdinand Céline
Ackteon:
« Nous sommes, par nature, si futiles, que seules les distractions peuvent nous empêcher vraiment de mourir. » de Louis-Ferdinand Céline
Ackteon:
C'est effrayant ce qu'on en a des choses et des gens qui ne bougent plus dans son passé. Les vivants qu'on égare dans les cryptes du temps dorment si bien avec les morts qu'une même ombre les confond déjà. Céline
Ackteon:
À Paris, sans fortune, sans dettes, sans héritage, on existe à peine déjà, on a bien du mal à ne pas être déjà disparu… Céline
Ackteon:
J’ai toujours dormi ainsi dans le bruit atroce depuis décembre 14. J’ai attrapé la guerre dans ma tête. Elle est enfermée dans ma tête Louis-Ferdinand Céline dans «Guerre»
Ackteon:
Fils de petits commerçants, la vie de Céline est intimement liée à celle de la capitale, d’abord le passage Choiseul, le fameux « passage des Bérézinas » de Mort à crédit, le théâtre de sa jeunesse.