Tim.Douet:
Nous trouvons le Pr Rudigoz en pleine discussion avec Corinne Dupont (à droite), la sage femme du réseau Aurore
Tim.Douet:
Le réseau Aurore (Association des Utilisateurs du Réseau Obstétrico-Pédiatrique Régional)
Tim.Douet:
La passerelle qui mène au bâtiment G. A gauche, sur trois étages, on gère les grossesses difficiles.
Tim.Douet:
L'équipe médicale fait en sorte que les patientes restent hospitalisées le moins longtemps possible
Tim.Douet:
Depuis un an, un réseau de sage femmes libérales a été mis en place afin de les aider lors de leur retour au domicile familial
Tim.Douet:
Sur les deux blocs, « il y en a toujours un de libre en cas de problème », explique le professeur Rudigoz
Tim.Douet:
La principale complication est l’hémorragie interne. Cela concerne 1% des cas mais elle peut être rapidement fatale pour la mère
Tim.Douet:
« Nous avons en moyenne 20% de césarienne », explique le professeur Rudigoz. Cela correspond à la moyenne nationale
Tim.Douet:
Au bout de quelques minutes d'opération, une sage-femme ressort, un petit être hurlant dans les bras
Tim.Douet:
Le service de néonatologie du professeur Picaud prend en charge des prématurés à partir de 500 grammes
Tim.Douet:
Ces grands prématurés ont 90% de chance survie à partir de 26 semaines ; 97% une fois passé les 28 semaines