Grègue:
La calèche, le Monumento al Toro de Lidia (Nacho Martin, 2005), un hommage de la ville de Ronda au Taureau Combattant et la Plaza de Toros (1785), Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Le Monumento al Toro de Lidia (Nacho Martin, 2005), un hommage de la ville de Ronda au Taureau Combattant et la Plaza de Toros (1785), Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Le Monumento al Toro de Lidia (Nacho Martin, 2005), Plaza de Toros (1785), Ronda (province de Malaga), un hommage de la ville de Ronda au Taureau Combattant,
Grègue:
La Plaza de Toros de Ronda (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), province de Malaga, est l'une des plus anciennes arènes pour corrida en activité d'Espagne.
Grègue:
La porte principale de la Plaza de Toros de Ronda flanquée de la statue en bronze (1996) d'Antonio Ordóñez, matador de Ronda qui a inspiré à Ernest Hemingway son célèbre ouvrage « L'été dangereux ».
Grègue:
Le mémorial Ernest Hemingway (Paco Parra, 2015), Paseo de Blas Infante, près de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Le mémorial Ernest Hemingway (Paco Parra, 2015, pierre d'Arroyo del Toro), Paseo de Blas Infante, près de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Statue en bronze (1996) de Cayetano Ordoñez, «El Niño de la Palma», qui a inspiré un personnage à Hemingway, à côté de la porte du Picadero de la Real Maestranza, près de celle de son fils Antonio Ordoñez, Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Statue en bronze (1996) de Cayetano Ordoñez, «El Niño de la Palma», à côté de la porte du Picadero de la Real Maestranza, près de celle de son fils Antonio Ordoñez, Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Le mémorial Orson Welles (Paco Parra, 2015), près de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
L'entrée de la Maestranza de Caballeria de Ronda, école royale d'équitation de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
La rueda (la plus vaste du monde) et les tribunes, uniques parce que toutes couvertes, de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga). 136 colonnes de grès toscan formant 68 arches soutiennent le niveau supérieur des sièges et le toit de la Plaza.
Grègue:
La rueda (la plus vaste du monde) et les tribunes, uniques parce que toutes couvertes, de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga). 136 colonnes de grès toscan formant 68 arches soutiennent le niveau supérieur des sièges et le toit de la Plaza.
Grègue:
La rueda (la plus vaste du monde) et les tribunes de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga). Madonna a tourné dans cette arène et à Ronda le vidéoclip musical de "Take A Bow" en 1994.
Grègue:
Fait exclusif à la Plaza de Toros de Ronda, tous les sièges des deux niveaux de tribunes sont couverts. 136 colonnes de grès toscan formant 68 arches soutiennent le niveau supérieur des sièges et le toit de la Plaza de Toros.
Grègue:
La colonnade et les tribunes de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga). À la fin de la guerre civile, entre février et septembre 1939, la Plaza de Toros fut utilisée comme camp de concentration contre les républicains.
Grègue:
Un des escaliers menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), Ronda (province de Malaga). La contremarche est décorée d'azulejos (céramiques traditionnelles).
Grègue:
Un des escaliers menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), Ronda (province de Malaga). La contremarche est décorée d'azulejos (céramiques traditionnelles).
Grègue:
Des azulejos (céramiques traditionnelles) ornent les contremarches des escaliers menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Détail. Des azulejos (céramiques traditionnelles) ornent les contremarches des escaliers menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Détail. Azulejos (céramiques traditionnelles) d'une contremarche de l'un des escaliers menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Détail. Azulejos (céramiques traditionnelles) d'une contremarche de l'un des escaliers menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
La structure au niveau supérieur de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Un des escaliers menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), Ronda (province de Malaga). La contremarche est décorée d'azulejos (céramiques traditionnelles).
Grègue:
Le couloir menant aux gradins du niveau supérieur de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), Ronda (province de Malaga)
Grègue:
La structure de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785) observée depuis un escalier menant à la tribune supérieure, Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Les tribunes supérieures de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), Ronda (province de Malaga)
Grègue:
Les tribunes supérieures et la rueda (la plus vaste du monde) de la Plaza de Toros (attribuée à José Martín de Aldehuela, 1785), Ronda (province de Malaga)
Grègue:
La rueda (la plus vaste du monde) et les tribunes de la Plaza de Toros, Ronda (province de Malaga). À la fin de la guerre civile, entre février et septembre 1939, la Plaza de Toros fut utilisée comme camp de concentration contre les républicains.
