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Le Palais provincial de la Députation de Malaga construit Plaza de la Marina dans les années 1950 sur des terres gagnées sur la mer
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Statue de Hans Christian Andersen (bronze de José Maria Cordoba commandé par la Maison royale du Danemark à l'occasion du 200e anniversaire de l'écrivain en 2004). En arrière-plan, à droite, le Palacio de la Diputacion de Malaga.
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Captivé par la beauté de Malaga, par la mer, sa lumière et ses habitants, Andersen a écrit dans «Voyage en Espagne» que dans aucune autre ville espagnole, il ne s'est senti si heureux et à l'aise qu'à Malaga. À droite, le Palacio de la Diputacion.
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Statue de Hans Christian Andersen (bronze de José Maria Cordoba commandé par la Maison royale du Danemark à l'occasion du 200e anniversaire de l'écrivain en 2004)
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Captivé par la beauté de Malaga, par la mer, sa lumière et ses habitants, Andersen a écrit dans son récit «Voyage en Espagne» (1862) que dans aucune autre ville espagnole, il ne s'est senti aussi heureux et à l'aise qu'à Malaga.
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Le Mercado Central Atarazanas et sa structure métallique (Joaquín Rucoba, années 1870). L'enceinte du 14e siècle était occupée par des chantiers navals nasrides.
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Atarazanas, de l’époque de la domination musulmane, signifie «un endroit où les navires sont réparés» (12e s.) Il reste au Mercado Central une seule des sept arches en fer à cheval que comptait la façade du chantier naval.
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Atarazanas, de l’époque de la domination musulmane, signifie «un endroit où les navires sont réparés» (12e s) Il reste au Mercado Central une seule des sept arches en fer à cheval que comptait la façade du chantier naval.
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Le Mercado Central Atarazanas présente une structure métallique (Joaquín Rucoba, années 1870). L'enceinte du 14e siècle était occupée par des chantiers navals nasrides.
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Au fond du Mercado Central Atarazanas, un grand vitrail (frères Atienza, 1973) rappelle les principaux monuments de Malaga.
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Au fond du Mercado Central Atarazanas, un grand vitrail (frères Atienza, 1973) rappelle les principaux monuments de Malaga.
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La structure métallique (Joaquín Rucoba, années 1870) du Mercado Central Atarazanas, Malaga. L'enceinte du 14e siècle était occupée par des chantiers navals nasrides.
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Détail. La structure métallique (Joaquín Rucoba, années 1870) du Mercado Central Atarazanas, Malaga. L'enceinte du 14e siècle était occupée par des chantiers navals nasrides.
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Détail. La structure métallique (Joaquín Rucoba, années 1870) du Mercado Central Atarazanas, Malaga. L'enceinte du 14e siècle était occupée par des chantiers navals nasrides.
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Immeuble résidentiel (courant régionaliste éclectique local, Guerrero Strachan et Daniel Rubio Sánchez, 1925), près du Marché Central et de la Casa Aranda, Malaga
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Immeuble résidentiel (courant régionaliste éclectique local, Guerrero Strachan et Daniel Rubio Sánchez, 1925), près du Marché Central et de la Casa Aranda, Malaga
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Immeuble résidentiel (courant régionaliste éclectique local, Guerrero Strachan et Daniel Rubio Sánchez, 1925), près du Marché Central et de la Casa Aranda, Malaga
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Détail. Immeuble résidentiel (courant régionaliste éclectique local, Guerrero Strachan et Daniel Rubio Sánchez, 1925), près du Marché Central et de la Casa Aranda, Malaga
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La célèbre calle Larios (1891), pavée de marbre et piétonne depuis 2002, serait la rue la plus chère de Malaga et la onzième plus chère de toute l'Espagne.
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Monument (bronze et piedestal de marbre de Mariano Benlliure, 1899) à Manuel Domingo Larios, influent industriel et politicien malaguène à l'entrée de la grande artère piétonne dont il se fit le promoteur et qui porte son nom.
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Monument (bronze et piedestal de marbre de Mariano Benlliure, 1899) à Manuel Domingo Larios, influent industriel et politicien malaguène à l'entrée de la grande artère piétonne dont il se fit le promoteur et qui porte son nom.
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Monument à Manuel Domingo Larios (Mariano Benlliure, bronze et marbre, 1899). La femme portant un enfant en offrande représente la maternité ou la charité. Le marquis de Larios payait pourtant fort mal ses travailleurs du textile et de l'alimentation...